À la fin de l'entretien, Michel Herren lui demande : « Pour conclure, qu'aimeriez-vous dire aux français tjs inquiets de ce qui se passe, qui se posent des questions et qui sont abreuvés de stress médiatique ? »

« Il faudrait déjà qu'ils se déstressent (elle montre le graphique qui indique clairement que l'épidémie est terminée et que la situation n'est pas à risque) parce qu'à partir du moment où on connaît la réalité, on est moins stressé.L'autre réalité de cela (le graphique), c'est que finalement on nous a dit qu'il y avait eu un excès de 30 000 morts du covid, même si le chiffre est discutable, or il y a 30 000 accidents domestiques par an en France. On ne nous a jamais dit qu'il ne fallait surtout pas rester chez nous à cause de ces accident domestiques. Donc, plutôt que de mettre toute l'attention sur le covid, il est peut-être urgent de mettre l'attention sur les casseroles qu'on laisse à risque pour les enfants et les milliers de morts à cause des particules fines (estimés à 80 000 par le journaliste) donc, avoir une réflexion sur la vie que l'on mène et sur notre environnement.
« Mes amis psychiatres me rapportent un état très préoccupant non seulement du nombre de suicides qu'il y a eu pendant le confinement, [...] (on vous annonce que c'est la fin du monde et que l'on va tous mourir), cela induit quelque chose de tout à fait désespérant qui ne cadre pas avec la réalité.
« Donc, j'ai envie de dire aux français, de travailler vous-mêmes pour essayer de cadrer avec la réalité et ne vous faites pas endormir dans un état de stress hypnotique... Pour moi, on est passé d'une hypnose covid à une paranoïa covid. La paranoïa, c'est de ne pas vous serrer la main. C'est de m'éloigner de vous comme si vous étiez le diable en personne et de se méfier de tout le monde.
« Si je suis en bonne santé, pourquoi est-ce que je me méfierais de vous ? Si je suis une personne vulnérable, il faut évidemment que je fasse attention, mais comme en toute période hivernale, d'entrée en hiver, où nous savons qu'il va y avoir la grippe.
« Voilà ce que je dirais aux français : revenez à des fondamentaux de compréhension de ce qu'est la santé et de ce qu'est votre état d'équilibre psycho-somatique, c'est-à-dire, l'esprit et votre corps. Tout cela ne peut pas fonctionner l'un sans l'autre.
« J'ai envie de finir sur une note positive, parce que s'il y a cette compréhension, et j'ai constaté à ce propos que le succès de mes vidéos est « complètement viral », alors que j'ai communiqué sur des canaux (que le journaliste qualifie d'alternatifs) en tout cas, qui n'ont habituellement pas de grand succès. Mais à chaque fois, il y a quelque chose qui me plaît.
« Sur TVL, c'était le mot « liberté ». J'aime bien le mot liberté, surtout en ce moment. C'est une valeur à laquelle je crois, une valeur qui est éminament républicaine et j'aimerais le répéter parce que ça a toute son importance.
« L'autre canal sur lequel j'ai communiqué, c'est Planète 360 parce que parce que la planète, c'est tout ce que l'on est en train de saccager actuellement, avec nos masques en plastique sous prétexte de fausse crise (elle montre une autre partie du graphique qui montre qu'il n'y a pas de réelle crise sanitaire) et puis, il y a vous, Nexus, parce que (qui veut dire 'lien, entrelas') ce qui permet de regarder les choses avec un autre prisme. C'est ce qui m'intéresse en ce moment, parce le prisme du menstream des médias actuels, j'ai vu ce qu'ils sont capables de commettre de mensonger sur ma personne et sur le covid, fait que je ne peux pas leur accorder confiance parce qu'ils ne sont pas dignes de confiance.
« Mais j'espère que cela reviendra autrement parce qu'il y a plein de journalistes que sont en train de raliser. Il y a une prise de conscience (elle cite des analyses de David Pujadas et de Laurence Ferrari qui vont donc dans ce sens. »