
Pierre Tricot, Alain Decouvelaere
On n’enseigne pas ce que l’on croit ou ce que l’on croit savoir.
On n’enseigne et l’on ne peut enseigner que ce que l’on est.1
Il nous arrive parfois, au sein de l’ATO, de nous demander pourquoi l’ostéopathie, tant combattue dès son origine, perdure encore aujourd’hui, malgré tout bien vivante, alors qu’au cours de l’histoire ont existé des hommes géniaux et des systèmes thérapeutiques efficaces qui n’ont pas perduré, ne laissant même parfois que peu ou pas de traces.