Les descriptions des premières expériences du Dr Sutherland et de l’utilisation d’appareils pour le traitement crânien ont été incluses dans cet ouvrage, car elles représentent une phase de son étude. Nous informons néanmoins le lecteur qu’après avoir développé ses méthodes manuelles, il n’a jamais recommandé l’usage de ces appareils. Des techniques de traitement spécifiques sont également décrites, et le lecteur doit également être averti que ces techniques s’adressent uniquement aux personnes possédant les qualifications et les compétences nécessaires pour les utiliser.
Le Dr Sutherland disait toujours que son concept crânien faisait partie de l’ensemble de la science de l’ostéopathie du Dr A. T. Still. Il qualifiait souvent les praticiens entraînés à utiliser ce concept de « techniciens crâniens ». L’utilisation de ce terme ne signifiait pas que ce travail pût être appliqué comme une thérapie à part ou utilisé par un praticien entraîné uniquement à une série de techniques. Il insistait plutôt sur l’habileté nécessaire, c’est-à-dire des doigts pensant, voyant, sentant et connaissant, entraînés dans l’ensemble des spécialités de l’ostéopathie.
Tout démontre que le Dr Sutherland avait une façon de penser très originale, et il a toujours insisté sur le fait qu’au-delà de ce qu’il avait compris et enseigné, il restait encore énormément à apprendre et à découvrir sur la « machine » humaine. Ce livre s’adresse à ceux qui souhaitent mieux comprendre les pensées très originales du Dr Still et du Dr Sutherland afin de pouvoir faire à leur tour de nouvelles découvertes.
Avant-propos de Rollin Becker D.O.
Les travaux de William G. Sutherland, D.O. que vous avez le privilège de lire illustrent les principes essentiels de l’ostéopathie. La science de l’ostéopathie comprend un grand nombre de principes, tout comme existent des praticiens d’une grande variété de disciplines en ostéopathie : internistes, gynécologues, pédiatres, chirurgiens des différentes parties du corps, psychiatres, spécialistes de la manipulation ostéopathique, etc. Néanmoins, le dénominateur commun de ce groupe est la science de l’ostéopathie, ainsi que chacun des principes s’appliquant au travail de chaque groupe de praticiens.
L’un des principes les plus importants de l’ostéopathie est que lors de l’évaluation clinique d’un patient, structure et fonction ne peuvent être séparées. Ce principe peut se scinder en deux corollaires. En effet, tout le monde accepte que la structure détermine la fonction, et il n’est pas nécessaire de réfléchir ou de parler longtemps pour savoir que cette affirmation est vraie. Il est également vrai que la fonction détermine la structure et, pour comprendre pleinement cette idée dans son application clinique, il faut effectuer une analyse beaucoup plus poussée.
Au moment de la formation, de la conception à la maturité physique, en particulier au cours des premiers mois et des premières années de la vie, le développement structurel du corps aura une influence considérable sur la croissance du fonctionnement de l’esprit et du corps. Un schéma de lésion physique survenu à la naissance aura par exemple des conséquences sur l’ensemble du schéma physique et mental de l’enfant en développement, pour le reste de sa vie. Un bassin, une colonne vertébrale et une cavité thoracique scoliotiques provoqueront un déplacement des organes qu’ils contiennent, modifiant le fonctionnement de leurs structures pour les adapter aux besoins du patient. Des conditions maladives ou traumatiques sur le corps d’un enfant, par exemple la maladie de Legg-Calvé-Perthes, modifient le fonctionnement du bassin et par conséquent le développement du mécanisme postural pendant le reste de la croissance. Une telle réflexion permet d’envisager des centaines d’applications cliniques.
Néanmoins, lorsque le développement physique du corps parvient à maturité, avec les modifications provoquées par des conditions maladives ou traumatiques, le principe selon lequel la fonction détermine la structure devient dominant. Dès la conception, la structure-fonction a travaillé étroitement avec la fonction-structure au cours des années de croissance, mais lorsque le corps a terminé son développement, c’est la relation fonction-structure qui permet de mieux comprendre les évaluations cliniques de la science de l’ostéopathie appliquées aux patients.
Le médecin ostéopathe doit apprendre à ressentir au sein du corps le fonctionnement physiologique manifestant son rôle en constante évolution dans l’économie structurelle du patient. Quelle que soit sa spécialité en ostéopathie, le praticien doit observer avec les yeux, les oreilles, et ressentir par le toucher les différences entre des changements normaux et des changements anormaux dans la fonction au sein d’une partie du corps. La science de l’ostéopathie ne se limite pas au groupe de spécialistes de la manipulation. Chaque spécialiste d’une discipline peut apprendre les principes fondamentaux du concept global d’ostéopathie et les appliquer cliniquement dans son propre domaine de pratique.
Apprendre à ressentir la fonction, à penser la fonction et à connaître la fonction au sein de la physiologie corporelle n’est pas un art aisé, et cette habileté n’est pas facile à développer par le praticien. Il faut des heures, des jours, des semaines et des années pour entraîner les mains, les yeux, les oreilles et l’esprit du praticien. Cette habileté est cependant essentielle à la compréhension totale de la science de l’ostéopathie telle que l’a enseignée Andrew Taylor Still.
William G. Sutherland possédait cette compréhension et cette habileté. Dans son développement du concept crânien, il nous a donné ces principes, sans jamais séparer la tête du reste du corps. Pour pouvoir comprendre le mécanisme crânio-sacré, il a élargi les principes fondamentaux de l’ostéopathie. Et, plus important encore, il a connu, compris et utilisé les principes des relations mutuelles de la fonction et de la structure pour l’ensemble du corps.
Lorsque vous lirez ces textes, ressentez avec lui le fonctionnement des tissus qu’il évoque, et visualisez les structures qu’il décrit. Notez comment, lorsque cela correspond au sujet mentionné, son travail peut être cliniquement une source d’informations et d’applications essentielles dans toutes les spécialités. Ceux qui étudient les textes du Dr Sutherland doivent penser en profondeur, ressentir en profondeur et connaître en profondeur avec lui.
Les principes des relations mutuelles de la structure-fonction et de la fonction-structure font partie des nombreux principes de la science de l’ostéopathie, mais ils fournissent au praticien un outil de travail lui permettant de lire et de comprendre les textes présentés dans cet ouvrage. Dans sa pratique de l’ostéopathie, le Dr Sutherland possédait dans les mains et dans l’esprit tous les principes de l’ostéopathie. Ces principes impliquent la vie, la sensation, le mouvement, la nutrition et l’assimilation, de la cellule unique au moment de la conception à l’ensemble de la physiologie anatomique du corps et de l’esprit parvenus à maturité. Ces principes existent aussi bien dans la santé que dans la maladie et dans les relations traumatiques au sein du corps des patients. En d’autres termes, la science de l’ostéopathie, appliquée au service des patients, requiert une connaissance totale de tous les principes. Le Dr William G. Sutherland utilisait ces principes dans les soins apportés à ses patients, et il les enseignait lors de ses cours aux étudiants en médecine.
Rollin E. Becker, D.O.
Janvier 1968
Table des matières
Avant-propos par Rollin E. Becker, DO
Préface à la seconde édition
Préface à la première édition
Chapitre 1 • Premiers écrits
1. Allez-y, touchez ! (1914)
Exhortation à apprendre et à utiliser le toucher ostéopathique.
2. Application de « l’avant-bras » (1914)
Une méthode pour soulager les contractures musculaires.
3. Économisez votre force (article non daté)
Conseils pour le traitement des lésions cervicales.
4. Le tire-botte de grand-père comme remède pour les pieds plats
(article non daté)
Utilisation du principe du tire-botte pour le traitement des pieds plats.
5. Calotte suspendue dans la technique occipito-atloïdienne (1915)
Discussion sur l’utilisation d’un point d’appui dans la correction de lésions spécifiques.
6. Traitement du côlon ascendant sans recours aux lavements
(1915)
Une alternative non agressive aux lavements.
7. Lésion postérieure de l’occiput (1916)
Une brève étude de cas relative à ce diagnostic.
8. Radiographie d’un torticolis (1916)
Discussion relative à un diagnostic incorrect par radiographie.
9. Verser de l’eau sur le feu (1921)
Discussion relative à une technique axillaire présentée par le Dr A. T. Still.
L’importance de la région de la deuxième dorsale en tant que centre vasomoteur.
10. Preuve radiographique de lésions ostéopathiques (1921)
Discussion relative à des radiographies dans trois cas cliniques.
Chapitre 2 • Réfléchir au lieu de bricoler
1. Première partie : février 1925
Discussion sur le sens du toucher ostéopathique. Un exemple de la méthode de rapprochement.
2. Deuxième partie : mars 1925
Discussion sur la pathologie atloïdo-axoïdienne secondaire consécutive à des lésions d’occiput postérieur. Description du sens du toucher ostéopathique. Discussion sur la pathologie des côtes supérieures et de la correction ostéopathique.
3. Troisième partie : juin 1925
Discussion sur les relations acromio-claviculaires. Discussion relative aux pathologies des onzième et douzième côtes, du psoas et de l’obturateur interne liées aux malpositions sacro-iliaques. Possibilités d’incliner le bol pelvien.
Chapitre 3 • La technique de chevet (1929)
Discussion sur la tension des ligaments et autres tissus antérieurs à la colonne vertébrale consécutive à une hyperextension rachidienne. Traitement de chevet pour les lésions de la colonne vertébrale, du diaphragme respiratoire, de l’abdomen, des côtes, de la région sterno-acromio-claviculaire et de la région sacro-iliaque. Discussion sur les effets de la tension tissulaire au sein du crâne. Exercices expérimentaux pour améliorer le drainage veineux du crâne et mobiliser les os de la face.
Chapitre 4 • Possibilités liées aux articulations basilaires du « bol crânien » (1929)
Premiers écrits du Dr Sutherland concernant la pensée crânienne présentés à l’American Osteopathic Association.
Chapitre 5 • Notions crâniennes
1. Juillet 1931
Questions relatives à l’objectif anatomique. Suggestions de l’existence probable de contraintes articulaires membraneuses au-dessus de la région occipito-atloïdienne.
2. Août 1931
Suggestion d’une perturbation dans les relations articulaires entre les os du crâne. Suggestion de l’étiologie de la pathologie pituitaire.
3. Septembre 1931
Présentation de l’idée de contraintes articulaires membraneuses du crâne dans les cas de grippe, et des traumatismes consécutifs.
4. Octobre 1931
Diagnostic et traitement de contraintes articulaires membraneuses du crâne. Questions et réponses avancées en ce qui concerne les relations anatomiques au sein du crâne. Discussion sur les racines des dents.
5. Novembre 1931
Discussion relative au mouvement des os du crâne.
6. Décembre 1931
Critique et réponse. Discussion sur la première expérience du
Dr Sutherland réalisée sur son propre crâne. Encouragement à poursuivre les recherches.
Chapitre 6 • Contraintes articulaires membraneuses du crâne (1931-1932)
Discussion relative à la mobilité articulaire des os du crâne et de la face, aux mouvements spécifiques des os du crâne et des membranes, et aux contraintes articulaires membraneuses du crâne. Hypothèse pour le mouvement des tissus crâniens. Éditorial du Dr John A. MacDonald, DO, encourageant à étudier en détail les idées du Dr Sutherland et à poursuivre des recherches dans ce domaine.
Chapitre 7 • Identification des contraintes articulaires membraneuses du crâne (1933)
1. Première partie
Formation d’une image mentale des surfaces articulaires des os du crâne et de la face.
2. Deuxième partie
Étude de la mobilité articulaire crânienne : la mobilité de la région basilaire, la fonction d’accommodation des sutures de la voûte et la mobilité des os de la face.
3. Troisième partie
Origine de la mobilité articulaire du crâne.
Chapitre 8 • Correspondance (1933)
Discussion sur un cas de portion pétreuse du temporal tournée vers l’extérieur.
Chapitre 9 • Traitement des « vertèbres modifiées » en cas de grippe respiratoire (1934)
Discussion portant sur la portion basilaire du crâne considérée comme « vertèbres modifiées ». Méthode permettant de rétablir la mobilité articulaire basilaire.
Chapitre 10 • « Vertèbres modifiées » dans les cas de tic
douloureux (1935)
Discussion sur la limitation de la mobilité articulaire basilaire dans les cas de tic douloureux. Découvertes et traitement.
Chapitre 11 • Un nouveau mécanisme dans la technique crânienne (1935)
Discussion relative aux premières approches du traitement crânien.
Chapitre 12 • Correspndance (1935)
Discussion sur le traitement de la surdité. Commentaires approfondis sur des cas de grippe.
Chapitre 13 • La technique rachidienne (1935)
Description des moyens permettant de réduire l’activité musculaire rachidienne pour faciliter les réductions ligamentaires spontanées.
Chapitre 14 • Le mécanisme respiratoire crânien (1936)
Discussion relative au mouvement au sein du crâne. Traitement visant à soulager les fixations anormales.
Chapitre 15 • Lésions crâniennes traumatiques dentaires (1937) Discussion sur une contrainte articulaire membraneuse du crâne fréquente, consécutive à une chirurgie dentaire : le mécanisme de lésion, ses conséquences, le diagnostic et le traitement.
Chapitre 16 • La technique de la position debout (1939)
Traitement de lésions produites en position debout ou avec le dos courbé.
Chapitre 17 • Le lien central entre le bol crânien et le bol
pelvien (1940)
Discussion sur les fonctions des membranes rachidiennes comme tissu de tension réciproque entre les mécanismes articulaires crânien et pelvien.
Chapitre 18 • La technique en position debout en relation avec la région sacro-iliaque (1940)
Diagnostic et traitement de fixations dans la mobilité posturale sacro-iliaque produites en position debout ou le dos courbé.
Chapitre 19 • La technique pelvienne (1941)
Traitement du plancher musculaire du bassin.
Chapitre 20 • Correspondance non datée
Conséquences de la restriction dans la fluctuation du liquide céphalo-rachidien. Importance du mouvement pituitaire. Discussion sur le mouvement du temporal.
Chapitre 21 • Correspondance (novembre 1943)
Contrôle volontaire de l’activité du système nerveux central involontaire. Importance des tissus en relation avec le crâne.
Chapitre 22 • Correspondance (1943)
Discussion sur le mouvement au sein du crâne. Le Souffle de Vie, techniques expérimentales.
Chapitre 23 • Conférence sans titre (1944)
Discussion sur le concept crânien en ostéopathie. Explication de l’origine de l’hypothèse du Dr Sutherland. Discussion détaillée sur le mécanisme respiratoire primaire, les mouvements spécifiques des os du crâne et des principaux schémas de lésion crânienne : considérations anatomiques, diagnostic et traitement.
Chapitre 24 • Le bol crânien (1944)
Commentaires d’introduction par le Dr Ray G. Hulburt, DO. Discussion sur le mécanisme crânien : considérations anatomiques et cliniques, la mobilité et les types de schémas de lésion.
Chapitre 25 • Conférences sur l’ostéopathie crânienne : Des Moines (1948)
1. Discussion d’introduction
« Penser ostéopathie » en regardant les surfaces articulaires des os du crâne.
2. La fluctuation du liquide céphalo-rachidien et la motilité du système nerveux central
Discussion détaillée sur l’anatomie au sein du crâne vivant et ses effets physiologiques.
3. Techniques d’incitation et de ralentissement de la fluctuation du liquide céphalo-rachidien
Méthodes et objectifs de la modification de la fluctuation du liquide céphalo-rachidien.
4. Diagnostic et traitement utilisant la marée
Utilisation de la modification de la fluctuation du liquide céphalo-rachidien dans le diagnostic et le traitement.
5. « Jeunes pousses courbées » : les nourrissons et les enfants
Diagnostic de lésions crâniennes en tenant compte des influences possibles provenant de la petite enfance.
6. Dernière conférence
Encouragement à regarder au-delà des apparences matérielles.
Chapitre 26 • Philosophie de l’ostéopathie et son applicaton par le concept crânien (1948)
L’ostéopathie considérée comme une tentative d’exploration du corps humain vivant. Le concept crânien vu comme un développement de l’exploration ostéopathique. Discussion relative aux effets importants de l’ostéopathie appliquée au crâne sur le liquide céphalo-rachidien, la glande pituitaire et le drainage veineux. Brève discussion sur la mobilité articulaire crânienne.
Chapitre 27 • La corrélation entre le bol pelvien et le bol crânien (1949)
Brève discussion sur la relation étroite entre le bol pelvien et le bol crânien. Méthode de traitement de « l’affaissement » sacré.
Chapitre 28 • Des connaissances plutôt que de l’information (1950)
Récit des expériences ayant conduit au développement du concept crânien.
Chapitre 29 • Un millième de pouce (2,5 cm) (1950)
L’importance des déviations infiniment petites par rapport à la normale dans la mécanique du squelette. Études particulières lors d’une session dans un laboratoire anatomique. Étude des membranes interosseuses, de l’anatomie du tarse et des tractions fasciales.
Chapitre 30 • Le faisceau du phare
Présentation du Faisceau
1. 4 août 1951
Brèves discussions sur la relation entre la mer fluide et des éléments matériels plus solides.
2. Septembre 1951
Brève discussion relative au « temps de silence », à l’enseignement du ressenti du fluide, et autres recommandations pour l’enseignement.
3. Octobre 1951 : La conférence à Milwaukee
Visions par le « petit objectif » du microscope : contraintes crâniennes, ganglions crâniens, nerfs de petit calibre. Observations par le « grand objectif » du télescope : têtes des côtes, contraintes sacrées, « La chèvre et le rocher ». « Une pensée çà et là. »
Chapitre 31 • La science de l’ostéopathie (1952)
Discussion sur la vérité des lois de Dieu dans le domaine de la science de l’ostéopathie et relatives à un art chirurgical non incisif. Commentaire sur les analogies du Dr Still du « groin du cochon » et de la « chèvre et le rocher ». Élaborations sur les lois n’ayant pas été « formulées par une main humaine » et le traitement dans les domaines abdominal, pelvien, thoracique, crânien et obstétrical.
Chapitre 32 • Iinterventions lors de la conférence clinique à Kirksville, Missouri
1. La traction fasciale et le fulcrum
Discussion sur les conséquences des tractions fasciales, en particulier celles entraînant le glissement du fulcrum au niveau de « l’articulation de la faux et de la tente ».
2. La contrainte fasciale et le sacrum
Discussion sur les restrictions du mouvement du sacrum entre les iliaques et des iliaques sur le sacrum. Différences, conséquences et traitement.
3. La lumière liquide
Discussion sur le Souffle de Vie et « l’élément le plus noble connu ». Exemple du câble coaxial. Penser ostéopathie et utiliser la science de l’ostéopathie. La transmutation de l’énergie. Autres idées à propos de l’espace.
Chapitre 33 • Enregistrements particuliers (1953)
1. Le mécanisme respiratoire primaire 369
Discussion sur la nomenclature. Les cinq unités du mécanisme. Présentation du mouvement des os du crâne lors de l’inspiration et de l’expiration.
2. La membrane de tension réciproque
Discussion sur la nomenclature. Les mouvements et les fonctions des membranes crâniennes. Discussion à propos du « fulcrum de Sutherland ».
3. Les surfaces articulaires crâniennes
Histoire des premiers enseignements de l’ostéopathie crânienne. Discussion sur les surfaces articulaires des os du crâne et des structures associées.
4. Types de lésions crâniennes
Discussion sur les schémas sphéno-basilaires des lésions crâniennes, ainsi que sur les lésions traumatiques, y compris les lésions dentaires.
5. Le trou dans l’arbre
Discussion sur les lésions crâniennes produites lors de la période prénatale et au cours de l’enfance : l’occiput, le sphénoïde, les temporaux et le sacrum.
Chapitre 34 • La promenade du vairon
Promenade imaginaire dans le crâne humain vivant et la moelle épinière.
Bibliographie
À propos de la Sutherland Cranial Teaching Foundation