Livre : Autobiographie - Sommaire de l'ouvrage
Andrew Taylor Still Éditions Sully, 1999 ISBN : 978-2-35432-010-2 Internet : www.editions-sully.com E-mail : |
Index de l'article
Andrew Taylor Still est né en 1828, à l’époque des pionniers de l’Ouest américain. La nature grandiose, les Indiens, la lutte anti-esclavagiste et la Guerre de Sécession, la société si particulière des colons du «far west» servent ainsi de toile de fond à l’extraordinaire histoire du fondateur de l’ostéopathie.
Dans cette autobiographie, publiée pour la première fois en français, A.T. Still raconte les épreuves qui ont motivé sa recherche, ses tâtonnements, ses difficultés pour trouver les bases sur lesquelles étayer sa science. Il évoque les résistances de ses contemporains, fermiers, ecclésiastiques ou médecins, et nous dit ses certitudes en l’existence de principes essentiels régissant le fonctionnement de la vie, de l’état de santé et de maladie. On assiste ainsi à la genèse d’un concept thérapeutique, qui depuis s’est répandu dans le monde entier, et dont Still disait : « Je ne prétends pas être l’auteur de cette science qu’est l’ostéopathie. Ses lois n’ont pas été formulées par une main humaine. Je ne réclame pas d’autre honneur que celui de l’avoir découverte. »
Indispensable retour aux sources pour tout ceux qui s’intéressent à l’ostéopathie, cet ouvrage se lit également comme un véritable roman, le récit d’une aventure hors du commun dans une époque en mutation, le portrait d’un de ces hommes qui influence le cours de l’histoire.
Introduction
Voici l’extraordinaire histoire d’un homme et de son invention, racontée par lui-même. Avant de laisser la parole à Still, il nous paraît indispensable, pour comprendre aujourd’hui son cheminement, de replacer ses propos dans le contexte de l’époque et du lieu.
Still et son époque : dans l’introduction de son livre Andrew Taylor Still, Carol Trowbridge écrit : « L’histoire de cet homme et de son mouvement médical est pratiquement inconnue de la majorité des américains, bien que tous les deux soient typiquement américains. Still a vécu la grande Ruée vers l’ouest, la seconde révolution industrielle et l’éveil scientifique. Il participa à la guerre du Kansas frontalier1 libéral et en conséquence, participa à la guerre de Sécession. Plus important pour l’histoire de l’ostéopathie, il naquit fils d’Abram Still, un prêcheur méthodiste itinérant de la frontière, de telle sorte que la doctrine méthodiste du perfectionnisme imprégna sa philosophie, tout comme elle imprégna d’une manière ou d’une autre l’ensemble de la pensée et de l’activité américaine du dix-neuvième siècle. [...] Quelques philosophes étendirent le concept de perfectionnisme à ce qu’ils percevaient comme l’étape logique ultérieure et demandèrent : si Dieu est parfait, comment toute chose par Lui créée, y compris le genre humain, pourrait-elle être imparfaite ? Telle fut la position de Still. »
D’autres influences non négligeables vinrent de sa confrontation à toutes sortes de sujets agitant les hommes pensants de cette époque : « L’univers de Still ne fut plus jamais le même après qu’il se soit accordé à la pensée des transcendantalistes, des universalistes, des spiritualistes, des mesméristes et des phrénologistes, chacun d’eux étant le fer de lance de mouvements fondés sur un monde centré sur l’humain fonctionnant selon des lois naturelles. Leurs idées firent vibrer toute la pensée américaine du dix neuvième siècle et ouvrirent la voie à l’acceptation de la théorie de l’évolution. Bien que l’ostéopathie soit née à la frontière, Still a retiré de ce flux incessant d’idées du dix neuvième siècle, formulant sa science à partir de la phrénologie, du mesmérisme ou du magnétisme, du reboutement, du spiritualisme, du perfectionnisme, de la mécanique, et des concepts évolutionnistes. »
Still et la médecine : c’est à travers l’impuissance à soulager son prochain, la souffrance consécutive à la perte d’êtres chers et à cause de son aversion naturelle pour les drogues que Still remit en cause le système médical de l’époque, élaborant peu à peu le nouveau concept qu’est l’ostéopathie.
Pour comprendre aujourd’hui son cheminement, sa sévérité vis à vis des médecins et des systèmes médicaux, il nous faut rapidement évoquer le contexte médical de l’époque. Dans les états pionniers, la pratique de la médecine n’est pas réglementée. Elle ne le sera que progressivement à partir des années 1870. Cette médecine est probablement plus proche des descriptions de Molière que de la médecine actuelle et, bien entendu, elle est le plus souvent impuissante. Il l’appellera lui-même médecine de l’à-peu-près, ou du viser-rater. Rappelons que c’est seulement à cette époque que Claude Bernard (1813-1878) jette les bases de la médecine expérimentale, fondement de la médecine actuelle.
Still apprendra la médecine auprès de son père, au contact des indiens shawnee et de leurs pratiques. Là encore, l’influence méthodiste semble avoir été déterminante : « Bien qu’Andrew se soit ultérieurement détaché de la religion organisée, il hérita du méthodisme une aversion pour l’alcool et l’esclavage, un intérêt pour l’aducation et une approche de la médecine priviligiant davantage la santé que la maladie. »
Son intérêt pour la mécanique le conduira à rapprocher ses trouvailles de l’organisation de la structure humaine et à se plonger dans l’anatomie, qu’il étudiera sur les squelettes indiens. Il sera ainsi révolutionnaire en émettant l’idée d’une relation entre l’anatomie et la fonction. Cette étude, lui fournissant un support réel de connaissance, lui permettra également de sortir de l’empirisme médical de l’époque.
Dans les années 1860, il voudra parfaire sa formation médicale : « ...Plus tard, il dira qu’en intégrant le Kansas City School of Physicians and Surgeons, immédiatement après la guerre de Sécession, il fut dégoûté par les enseignements et n’alla pas jusqu’au diplôme. Si ce n’est la possession d’un diplôme formel à accrocher au mur du cabinet, un diplôme d’école médicale ne signifiait évidemment pas grand chose dans les années 1860. Les exigences requises pour intégrer ces écoles essentiellement commerciales, dirigées par des médecins, étaient minimes. Il suffisait habituellement de pouvoir payer les frais de scolarité. L’étudiant devait assister à un cycle de conférences étalées sur deux ans, de novembre à février, la seconde année présentant les mêmes matériaux que la première, sans aucune pratique clinique. De plus, beaucoup d’étudiants étant illettrés, l’examen final se réduisait à une simple interrogation orale. »
Convaincre : Still veut convaincre. Il utilise pour cela les systèmes de son époque : « Dans les nombreuses pages dévolues à la philosophie évolutionniste, ses descriptions et ses comparaisons allégoriques semblent étranges et excentriques à qui n’est pas familier du prêche évangélisateur persuasif destiné aux réunions des camps du dix neuvième siècle. L’influence rhétorique subie par Still est particulièrement évidente dans son livre. Comme les évangélistes personnifiaient le démon en Prince des ténèbres, Still personnifie la maladie. Ainsi, le Josué de l’ostéopathie est-il envoyé pour combattre Oreillons, Diphtérie, Pneumonie et Scarlatine. Tout comme les prêcheurs méthodistes de la frontière exhortaient leurs congrégations à l’action contre le démon et le péché en utilisant des images guerrières comme la charge au son du clairon, le Vieux Docteur commande à ses généraux de brandir leurs sabres et leurs baïonnettes contre les ravages de la maladie. »
Enfin, le ton péremptoire qu’utilise souvent Still pourra agacer. Mais imaginons bien que comme tout novateur, il se heurte à l’incompréhension et à l’ostracisme. Ainsi, souvent affleure la souffrance de n’être pas compris. À nous de procéder aux ajustements qui s’imposent. En revanche, tout au long de cette Autobiographie, la pensée profonde, source même du concept ostéopathique est exprimée, et elle défie les époques et les lieux. C’est elle qui nous intéresse et elle émerge à chaque ligne de cette histoire, celle d’un homme dont on pourra tout dire sauf qu’il fut ordinaire.
Alors que l’ostéopathie se développe réellement en France depuis près de trente ans, aucune traduction des principaux ouvrages de son fondateur n’a été publiée, même pas son Autobiographie. On peut s’étonner d’un tel état de fait, alors que nous savons à quel point le lien à la source d’un savoir est capital pour en conserver l’essence, malgré l’évolution indispensable qu’il subit au cours de la vie.
Nous avions depuis longtemps conscience de ce manque, mais l’immensité de la tâche nous avait dissuadés d’entreprendre ce travail. Puis, la nécessité devint trop évidente pour atermoyer davantage. Nous sommes heureux et fiers de livrer cette traduction à nos amis francophones, en espérant qu’ils comprendront le formidable message d’amour, de bienveillance et de compassion que nous livre Still, qu’ils découvriront comme nous ses essentiels, comprendront et rejoindront ses exigences spirituelles et techniques, fondements trop souvent oubliés de notre art.
Pour terminer, nous tenons à remercier les membres de l’Académie d’Ostéopathie de France qui n’ont pas hésité à soutenir ce projet à nous aider dans sa réalisation.
Sommaire de l'ouvrage
Avant propos
Préface à l’édition française
Préface à la première édition américaine
Préface à la seconde édition américaine
Chapitre 1
Premiers jours – Jours d’un écolier et la sévère baguette – Connaisseur en chiens – Mon fusil à pierre – Premier fourneau et première machine à coudre – Arrivée de la fin du monde – Ma première découverte en ostéopathie.
Chapitre 2
Le jeu sauvage de la frontière – Le cerf de M. Cochran – Le pied du cerf – Obligé de fuir un chevreuil – Je capture un aigle – Nuit de chasse – Le cor de frère Jim – La philosophie des sconses et des buses – Traite dans la difficulté – Attaqué par des panthères.
Chapitre 3
Mon père – Transfert vers le Missouri – Long voyage – Le premier bateau à vapeur – À Saint-Louis – Prédicateur sans scrupule – Epreuves dans l’Ouest – Le premier prédicateur méthodiste dans le nord-est Missouri – Président doyen – Problèmes dans l’église méthodiste – Prise de position du vieil Abram Still – Déménagement pour le Kansas.
Chapitre 4
Dans lequel je prends épouse – Présentation – Averse de grêle destructrice – À la mission de Wakarusa – Deuil – Problème de pro-esclavagisme – Dangereuse promenade – Sondage de pro-esclavagistes – Mon expérience législative.
Chapitre 5
Je m’engage dans la compagnie F, Neuvième volontaire de cavalerie – Notre mission – À Kansas City – Poursuite de Price – L’armée à Springfield – Vengeance sommaire en guérilla – Capitaine de la compagnie D de la dix huitième milice du Kansas – Commandant de la vingt et unième milice du Kansas – Sur la frontière du Missouri – Combat contre John Shelby – L’ostéopathie en danger – Enterrement des morts sous le drapeau de la trêve – Surprise pour le régiment.
Chapitre 6
La fin de la guerre – Réjouissance à l’aube de la paix – Nouveaux dangers – Le mal des drogues – Terribles visions – Dessin d’un tableau – Creuser des tombes indiennes pour avoir des sujets – Etudes dans le grand livre de la nature – Les ravages d’une terrible maladie : la méningite – Prières et médecine – Décès de quatre membres de ma famille – La médecine est-elle un échec ?
Chapitre 7
Comme un inventeur – Le bras fatigué – La moissonneuse et la faucheuse – Le râteau – Les doigts d’acier – Une invention perdue – À la ferme – Une épouse dégourdie – Barattage – La philosophie du beurre – Une autre invention – Etude des roues motrices de la nature – La science de l’ostéopathie développée.
Chapitre 8
Un effort pour attirer l’attention des gens sur l’ostéopathie – Echec à Baldwin, Kansas – L’histoire de l’université Baker – Prières pour l’homme possédé – Le scepticisme de mon frère Jim – La foi de ma bonne épouse – L’ostéopathe errant – Mon histoire dans le comté de Clinton – Je traite l’asthme – Mes études – Un hypnotiseur.
Chapitre 9
Mon premier cas de dysenterie – Anciennes méthodes – D’autres cas – Croit être possédé par le démon – Prières pour les fous – Une nuque disloquée – Départ de Macon – À Kirksville – Mère Ivie – Le Dr F. A. Grove – Le juge Linder – Chemin de Chinn’s Cheering – Robert Harris – Un estropié sans défense – Fièvre typhoïde – Sans santé ni argent – Malaxage d’ivresse – Un onguent pour l’ivresse.
Chapitre 10
Réflexions sur les années soixante – Choisir un chemin dans la vie – Ce qu’est la vie – Anxiété de la quitter – Courage d’enfant – Le cerveau, le seul espoir – Les épreuves de la veuve – Cerveau triomphant – Le plus grand legs énergétique.
Chapitre 11
Travailleur solitaire – Le médecin des hémorroïdes et le colporteur de paratonnerres – Un docteur en médecine vient pour enquêter – La leçon d’électricité – Moteur et sensoriel – Qu’est-ce que la fièvre ? – Le docteur converti – Le succès des femmes ostéopathes – Particulièrement excellentes en obstétrique – Maladies de saison – L’allégorie de Josué – Principes de base – L’homme trop bavard – Statuts du Collège Américain d’Ostéopathie.
Chapitre 12
Introduction aux conférences – Critique honnête invité – Pas un écrivain de livres – Vieux remèdes et mort – Etudier l’ostéopathie – Minutieuse connaissance de l’essentiel anatomique – Déboires d’un docteur chauve – Le monde des épreuves – Juge du vivant et du mort – Poursuites judiciaires – Pour vingt deux mille ans – Luttes de nations – Soldat sous le nouveau drapeau.
Chapitre 13
À propos des signes infaillibles – Appel à mon petit prédicateur – Anxiété dans l’attente d’une réponse – Les charges et spécifications – La loi divine du doigt et du pouce.
Chapitre 14
La grande vision – Une merveilleuse procession – Assemblée pour le bénéfice de la race humaine – Guerre – Défaite – Capitulation – Les docteurs en conseil – Forceps et déchirure – Un espion dans l’ostéopathie – Une artère dérangée et le résultat – Le système de la nature en obstétrique – L’ostéopathie définie – Fouet de la quinine pour chasser la fièvre – Le corps calleux – Corpuscules – Les équipements des chirurgiens de Fremont – Comment Dieu se manifeste.
Chapitre 15
Différentes maladies – Normal et anormal – Nerfs et veines – Tout les combien traiter – Ne meurtrissez pas les muscles – La batterie et le moteur – Attention aux vautours.
Chapitre 16
Demande pour une révolution – Appel pour une avancée en ostéopathie – L’objet de l’ostéopathie – Comment irriguer – La mort définie – Comment se crée la douleur – La construction de l’os de la cuisse – Les pouvoirs dissolvants de la vie – La destruction de la douleur – L’objectif de la mobilisation des os et des muscles.
Chapitre 17
L’appendice vermiforme – Opération de l’appendicite – Pouvoir d’expulsion de l’appendice vermiforme – Précautions requises dans les affirmations – La machinerie humaine – La machine de Dieu ou celle de l’homme, quelle est la meilleure ? – Le germe – L’astronome et les mondes nouveaux – Le couteau de la sagesse – La loi d’affinité – Le cœur de l’homme et le tronc d’un arbre – Le cœur est le roi de tout.
Chapitre 18
Conférence dans le hall du collège, lundi 14 janvier 1895 – Introduction – Dieu est Dieu – L’ostéopathe, un électricien – Diphtérie – Maladie de Bright – Une illustration – L’âge de l’ostéopathie – Les enfants de la vie et de la mort.
Chapitre 19
Conférence d’A. T. Still à l’hôpital, le 20 janvier 1895 – Pourquoi il a invité les gens de couleurs à l’hôpital – Le hall du souvenir – Quinine et tumeurs fibroïdes – Poudres de Dover, calomel et huile de ricin – Pas un adepte de la Christian Science – Pas du Mesmérisme – Oxygène et santé – Aux patients – L’objet de l’ostéopathie – Soixante quinze pour cent des cas améliorés – Cinquante pour cent guéris – Ostéopathie
Chapitre 20
Conférence donnée dans le Hall du souvenir le 12 mars 1895 – Une femme mûre – Qu’est l’homme ? – L’inconnaissable – La vie est un mystère – L’allure où nous allons – La machinerie avec laquelle travailler.
Chapitre 21
L’ostéopathie comme une science – Je devenais si fou que je braillais – Le triomphe de la liberté – On me reproche de m’opposer aux enseignements de mon père – Ostéopathie et respect de Dieu – La télégraphie de la vie – La circulation – Préparer le sang – La maladie définie – La lumière électrique et l’ostéopathie – Une érudition issue de l’université de la Nature – Professeur Paon et la leçon de la queue.
Chapitre 22
Discours dans le hall du mémorial, le 22 juin 1895 – Tous les modèles se trouvent en l’homme – Les attributs du Divin sont trouvés en l’homme – Aucune imperfection dans la construction – Leçon d’une scierie – Il n’y a jamais eu de dysenterie – Insultes à l’ostéopathie – Quelques notes de mise en garde – Efforts pour séduire les étudiants incompétents à pratiquer – Dangers de l’incompétence – Dangers de sortir trop tôt.
Chapitre 23
Discours dans le hall du souvenir, 4 juin 1896 – Débiteur et créditeur – Fièvre intermittente – Le danger de la dépopulation – La prescription d’un docteur pour la fièvre – Une machine électrique dans le cerveau – Blessure à mœlle épinière paralysée – Les effets de la médecine – Ce qu’un ostéopathe devrait savoir – Le sérieux de l’étude de l’ostéopathie – Cours d’étude – Définition de la dysenterie – Envergure de l’ostéopathie – Styles de cas – Cas spécifiques.
Chapitre 24
Conférence du 25 avril 1895 – Pas infidèle – Encore cette merveilleuse machine – Ce que la sagesse des affaires nous apprend – Le maréchal ferrant et l’horloger – L’objet de l’école – Je ne veux pas d’ostéopathes modérés – Médecine et douze mille poisons – Un cas d’aphonie – Une lettre.
Chapitre 25
Discours aux étudiants et diplômés, le 7 mai 1894 – L’ostéopathie adhère aux lois de la nature – déclaration écrite sous serment par des docteurs en médecine – L’ostéopathie peut accomplir toutes choses – Tout ou rien – Tenez prêt le vieux drapeau.
Chapitre 26
Discours pour le vingt et unième anniversaire de la découverte de l’ostéopathie, le 22 juin 1895 – Le roi Alcool – Equiper l’homme pour le voyage de la vie – Le foie contrôle la fièvre – La grande Sagesse ne connaît pas l’échec – Pourquoi « ostéopathie » a été choisi pour cette science – Calculs biliaires et traitement – Kansas Baby.
Chapitre 27
Ballade du matin – Aurore – Astronomie – Peur – L’étendard de la vérité – Le roi des scalps que nous recherchons – Une prière pour les épouses et les mères – Le nouveau Josué – Divorce d’Allopathie – Les métiers à tisser du temps – La toile de la vie – « Le Vieux Docteur » – Réponses à quelques questions – Comme la vie est curieuse – La prophétie définie – La pensée touche l’Infini.
Chapitre 28
Histoire d’une vie – La machine pour la moisson de la vie – Une résolution pour la vérité – Grand respect pour la chirurgie – La chirurgie définie – Que peut donner l’ostéopathie à la place des drogues ? – Quelques questions posées aux docteurs en médecine.
Chapitre 29
Discours du soixante huitième anniversaire – Seulement quelques cycles supplémentaires de temps – La surprise des gens – Tout ce que signifie le mot « remède » – Réponse aux questions – La pensée la plus sublime – Plaisir de soulager – Voyage du cœur à l’orteil – Esprit intuitif – Peut-on faire confiance à la loi Divine ?
Chapitre 30
Rimes d’os – Discours du soixante neuvième anniversaire – Tribut à un petit anatomiste – Devoir de parents – Lorsque Still était parti – Guerrier de naissance – Qui a découvert l’ostéopathie ? – Clairvoyant et clairaudiant – Né pour savoir quelque chose sur les drogues – Combat pour préserver la santé – Montages mathématiques – Effets climatiques sur les poumons – Diète – Consternation – Pourquoi j’aime Dieu.
Chapitre 31
Une allégorie sur les affaires – Ma première vie, une affaire ratée – À la recherche du succès – L’avis du pasteur – Investissement dans une scierie – Confiance en soi – Un soliloque – Endormi sous l’arbre – Le bélier – Au sommet de l’arbre – Les jambes aussi nécessaires que la tête pour réussir – L’arbre aux étiquettes – les étiquettes du succès – Comment réussir dans les affaires – Un grand financier – Un rêve et sa réalisation – L’épouse implore en vain – Ce sacré bélier de la délivrance – Jeté du toit d’une maison de dix mille dollars hypothéquée – Parole de bélier.
Chapitre 32
Les muscles – Quartiers généraux du cerveau – L’armée des muscles – Le secret de Dieu – Comment vivre longtemps et bien – Les temps à venir des grands festins – Ordre de manger – Hors du pays – L’ostéopathie guérit le mal de mer – Amis du pays – Calme et ombragé – Expliquant la cause du lumbago – La nature épuisée cherche le repos.
Chapitre 33
Dans lequel je fais quelques allusions à ma famille – Mon épouse – Réunion de perles et de pensées – Mes enfants – Vers une conclusion – Mes amis – Le livre de la vie – Notre mort – Fred – Conclusion – Lignes sur le squelette.
Les dix dernières années en ostéopathie
Quatre cinglés avérés
Histoire des premiers temps du Dr Still
Ostéopathie – notre vocation
Définitions
Postface